
" On mettra en terre et au feu ces vibrations, ces erreurs, ces murmures. Le souffle et la conviction manquent. En terre, au feu, l’incertitude, la vie échevelée, le souffle descendu, la gorge emprisonnée, il reste à bâtir pour le monde, la raison est perdue, le souffle est suspendu. Il reste la terre et le feu et laver les orages, et tendre au sol sous un masque noir, des pleurs et du chagrin. La fatigue accable, il faut, une passion profonde, un mot écartelé, une conviction surprenante, surprenante, il faut penser à tout. "
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire