

" Au retour de l’ombre, assis et posé, infiniment détendu, il pleure à l’habitude, il étend des cailloux et sans nombre le pied les roule, il est à la surface, il se définit et s’habitue, la porte est ouverte, le ciel est rentré, il monte haut, il compte sur la certitude, brouillard posé. Comme les cailloux meurent,
au ciel, au ciel, aux branches, à l‘inconfort, il ne se hisse, il ne se tend, il garde goutte à goutte la vie rompue, le dos est fatigué, les épaules couvertes de sable et de savon, il est partant pour une éternité, il tourne au vide, l’obscurité est calme, le pluriel est indigne, le calme revient il est fourbu. "

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