samedi 12 novembre 2011

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" venus du bout des âges, des fureurs noires, des incendies, la liberté menace, ils en sont au carnage, au sommeil, ils cherchent des vérités bonnes à dire, sur le seuil de la maison, la porte ni ouverte, ni fermée, le pas languissant, l’air morose des fleurs à éclore, du cran, du chien, de la soif.

Ô, porte fermée ouverte, où sont les ardentes beautés les envies folles de plaisir aux épaules, au calme lent, à la splendeur, des images, des légendes et il n’a encore posé pied ni pas, au sol, il est devant la porte et il prie pour son ouverture, viendrez vous donc vous réjouir et délimiter un pas, "








Texte de Michel Chalandon :
Il est venu exposer son œil à la porte. 11
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1 commentaire:

if6 a dit…

c'est très beau ;)