
" le sol et les cailloux, l’herbe fanée, les fleurs jaunes et bleues, vers l’illusion de la lumière, à contempler dans le danger et dans le doute les yeux se brûleront, ils ne seront plus clairs, mais posés sur le ciel d’un nuage à un autre, d’un oiseau en vol à une trace dans le bleu, il est au sol perdu
et dans les airs, il y cherche toujours le chemin, perdu, perdu, la chanson lente sort d’une construction, St Jean, le moissonneur, présent et noble, tentant le secours, la grâce, la certitude. Le temps passe, le temps est passé, les yeux sont ouverts sur le monde, l’espérance chemine d’un doute
à une rencontre, d’un désespoir vers un cœur donné et ce fut seulement le premier, pas à pas, un pas. "
et dans les airs, il y cherche toujours le chemin, perdu, perdu, la chanson lente sort d’une construction, St Jean, le moissonneur, présent et noble, tentant le secours, la grâce, la certitude. Le temps passe, le temps est passé, les yeux sont ouverts sur le monde, l’espérance chemine d’un doute
à une rencontre, d’un désespoir vers un cœur donné et ce fut seulement le premier, pas à pas, un pas. "


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