vendredi 23 décembre 2011

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" il parle de raison, de l’été écroulé, des ratures sans nombres, des ailes tranchantes et l’air en est marqué, il se donne, il frissonne et il soupire aussi, les yeux sont fatigués, le corps est lourd, trop, il se calme, il abandonne, il ne tient plus de rien, il ne tient plus de tout, il abandonne et perd "




Texte de Michel Chalandon : Ce sont des débuts. 5
à lire ICI

1 commentaire:

jeandler a dit…

Au creux de la page
comme au creux de la vague
les mots en déferlante.
Combien surnageront
et parviendront au port ?