Devant le froid installé, devant la peur qui racle, au fond, je suis
infiniment sans rien. Je chante avec les oiseaux, ils passent. Donne un
peu d’air pour entendre la source, les joyaux au ciel, les efforts, les
outils, la peine perdue, le sucre sous le ciel.
Texte de Michel Chalandon : Oh.
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