jeudi 10 novembre 2011

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" Ô, porte fermée, ouverte, où sont les ardentes beautés, les envies folles de plaisir, de grâce et d’amour, du vin tiré, bu sans raison, des chansons tristes sur les épaules, du calme lent, de la splendeur, des images, des légendes et il n’a encore posé ni pied ni pas au sol, et il prie devant la porte

pour son ouverture, viendrez vous donc vous réjouir et délimiter d’un pas, un autre, des escalades, des ambitions, de la tenue, de la puissance. Il en finit avec ses lois, il en finit avec sa souffrance, le pied devant, les doigts au montant, il compte le temps de vivre, la saison ouverte, le temps plaisant, "








Texte de Michel Chalandon :
Il est venu exposer son œil à la porte. 9
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